50214
Selon le rapport économique sur l’Afrique (ERA-2010), présenté hier au siège de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) à Addis-Abeba (Ethiopie), Nouakchott se classe en 4e position en Afrique du Nord en termes de croissance du Produit intérieur brut (+2,3%).
Elle est précédée par Rabat, Tunis et Le Caire dont les PIB respectifs sont de +5,3%, de + 3 et de +4,7%). Pour le Maroc et l’Egypte, le recul de la demande extérieure a été largement compensé par demande intérieure forte.
Selon le dit rapport économique sur l’Afrique, la Mauritanie réalise toutefois une performance économique supérieure à celle d’Alger 5e (+2,1%) et de Tripoli (+1,8%).
Tous ces pays ont « relativement » bien résisté à l’impact de la crise économique mondiale, comparée à d’autres régions du continent, qui l’ont fortement subit.
Les auteurs du rapport intitulé « Promouvoir la croissance durable de haut niveau pour réduire le chômage en Afrique » estiment en effet que la croissance économique a reculé en Afrique du Nord, mais à un rythme resté «modeste au regard des normes continentales et internationales ».
Selon le rapport économique sur l’Afrique (ERA-2010), présenté hier au siège de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) à Addis-Abeba (Ethiopie), Nouakchott se classe en 4e position en Afrique du Nord en termes de croissance du Produit intérieur brut (+2,3%).
Elle est précédée par Rabat, Tunis et Le Caire dont les PIB respectifs sont de +5,3%, de + 3 et de +4,7%). Pour le Maroc et l’Egypte, le recul de la demande extérieure a été largement compensé par demande intérieure forte.
Selon le dit rapport économique sur l’Afrique, la Mauritanie réalise toutefois une performance économique supérieure à celle d’Alger 5e (+2,1%) et de Tripoli (+1,8%).
Tous ces pays ont « relativement » bien résisté à l’impact de la crise économique mondiale, comparée à d’autres régions du continent, qui l’ont fortement subit.
Les auteurs du rapport intitulé « Promouvoir la croissance durable de haut niveau pour réduire le chômage en Afrique » estiment en effet que la croissance économique a reculé en Afrique du Nord, mais à un rythme resté «modeste au regard des normes continentales et internationales ».