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La police des crimes économiques a arrêté l’ex Directeur de la Somagaz El Mechri ould El Hadj, ainsi que les directeurs administratif et financier de cette société, tous suspectés d’implication dans un scandale de mauvaise gestion, auquel d’autres parties seraient également mêlées.
Selon le site alakhbar, qui rapporte la nouvelle, les autorités chargées des enquêtes n’ont pas encore révélé les motifs de cette arrestation, indiquant que toutefois des milieux qui suivent le dossier avec minutie, soulignent que l’affaire pourrait être très délicate.
Ces dernières semaines, de plus en plus, des dossiers relatifs à des scandales économiques surgissent au sein des grosses entreprises publiques et des importants départements gouvernementaux.
Les dernières politiques prises par le nouveau pouvoir pour assainir les dépenses publiques et mettre définitivement terme aux privilèges financiers exorbitants dont bénéficiaient certains hauts cadres de l’Etat, auraient contraint certains d’entre eux à recourir à la mauvaise gestion.
Il n y avait pas d’autre moyen pour ses responsables habitués à l’argent facile pour arrondir les fins de salaires et pour maintenir, au prix de leur faux orgueil, leur ancien rythme de vie sociale aux pièces résonnantes et trébuchantes.
La police des crimes économiques a arrêté l’ex Directeur de la Somagaz El Mechri ould El Hadj, ainsi que les directeurs administratif et financier de cette société, tous suspectés d’implication dans un scandale de mauvaise gestion, auquel d’autres parties seraient également mêlées.
Selon le site alakhbar, qui rapporte la nouvelle, les autorités chargées des enquêtes n’ont pas encore révélé les motifs de cette arrestation, indiquant que toutefois des milieux qui suivent le dossier avec minutie, soulignent que l’affaire pourrait être très délicate.
Ces dernières semaines, de plus en plus, des dossiers relatifs à des scandales économiques surgissent au sein des grosses entreprises publiques et des importants départements gouvernementaux.
Les dernières politiques prises par le nouveau pouvoir pour assainir les dépenses publiques et mettre définitivement terme aux privilèges financiers exorbitants dont bénéficiaient certains hauts cadres de l’Etat, auraient contraint certains d’entre eux à recourir à la mauvaise gestion.
Il n y avait pas d’autre moyen pour ses responsables habitués à l’argent facile pour arrondir les fins de salaires et pour maintenir, au prix de leur faux orgueil, leur ancien rythme de vie sociale aux pièces résonnantes et trébuchantes.