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New-Delhi et Paris viennent de décider séparément, la poursuite de leur assistance économique et humanitaire de Nouakchott.
Pour la circonstance, l’Inde mobilise 23 millions de dollars destinés au financement de projets de développement et Paris débloque 0,6 millions d’euros pour la sécurité alimentaire.
La Banque Import Export de l’Inde va financer des projets hydrauliques et agropastorals en Mauritanie, à travers la mobilisation d’un prêt global de 23 millions de dollars américains.
Ce prêt consenti au gouvernement sera soumis à l’examen pour approbation du parlement à l’occasion d’une séance plénière prévue ce jour même.
Un montant de 6,8 millions de dollars de cette enveloppe ira au secteur hydraulique et agropastoral pour l’acquisition d’équipements et de foreuses.
La deuxième tranche, d’un montant de 15 millions de dollars, est destinée à financer la création d’unités de production de lait et d’aliments de bétails et la construction d’abattoirs modernes dans deux régions de l’est du pays. ( africanmanager.com)
Face à la situation alimentaire et nutritionnelle très critique dans plusieurs pays de la bande sahélienne, principalement au Niger et au Tchad, la France a mobilisé plus de 6 millions d’euros en faveur des populations affectées, a annoncé mercredi le Quai d’Orsay.
Ainsi, la France a octroyé 3 millions au Niger, 1,8 million au Tchad, 0,65 million en Mauritanie, 0,5 million au Burkina Faso et 0,15 million au Togo, a précisé le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, M. Bernard Valero.
La France continue d’agir en faveur d’un effort européen et international cohérent, en appui des dispositifs nationaux.
En effet, des déficits de financement persistent tandis que les perspectives de contributions additionnelles sont incertaines.
Un suivi rapproché de la situation alimentaire et nutritionnelle dans ces zones est nécessaire, afin d’adapter la réponse et de prévenir une aggravation de la crise, a-t-il ajouté.
Une grave crise alimentaire et nutritionnelle frappe actuellement plusieurs pays de la bande sahélienne, principalement au Niger où 7,8 millions de personnes sont affectées et au Tchad qui enregistre 2 millions de personnes vulnérables. (casafree.com)
New-Delhi et Paris viennent de décider séparément, la poursuite de leur assistance économique et humanitaire de Nouakchott.
Pour la circonstance, l’Inde mobilise 23 millions de dollars destinés au financement de projets de développement et Paris débloque 0,6 millions d’euros pour la sécurité alimentaire.
Plus de 23 millions de dollars de l’Inde pour des projets en Mauritanie
La Banque Import Export de l’Inde va financer des projets hydrauliques et agropastorals en Mauritanie, à travers la mobilisation d’un prêt global de 23 millions de dollars américains.
Ce prêt consenti au gouvernement sera soumis à l’examen pour approbation du parlement à l’occasion d’une séance plénière prévue ce jour même.
Un montant de 6,8 millions de dollars de cette enveloppe ira au secteur hydraulique et agropastoral pour l’acquisition d’équipements et de foreuses.
La deuxième tranche, d’un montant de 15 millions de dollars, est destinée à financer la création d’unités de production de lait et d’aliments de bétails et la construction d’abattoirs modernes dans deux régions de l’est du pays. ( africanmanager.com)
Paris soutient Nouakchott dans sa lutte contre la crise alimentaire
Face à la situation alimentaire et nutritionnelle très critique dans plusieurs pays de la bande sahélienne, principalement au Niger et au Tchad, la France a mobilisé plus de 6 millions d’euros en faveur des populations affectées, a annoncé mercredi le Quai d’Orsay.
Ainsi, la France a octroyé 3 millions au Niger, 1,8 million au Tchad, 0,65 million en Mauritanie, 0,5 million au Burkina Faso et 0,15 million au Togo, a précisé le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, M. Bernard Valero.
La France continue d’agir en faveur d’un effort européen et international cohérent, en appui des dispositifs nationaux.
En effet, des déficits de financement persistent tandis que les perspectives de contributions additionnelles sont incertaines.
Un suivi rapproché de la situation alimentaire et nutritionnelle dans ces zones est nécessaire, afin d’adapter la réponse et de prévenir une aggravation de la crise, a-t-il ajouté.
Une grave crise alimentaire et nutritionnelle frappe actuellement plusieurs pays de la bande sahélienne, principalement au Niger où 7,8 millions de personnes sont affectées et au Tchad qui enregistre 2 millions de personnes vulnérables. (casafree.com)
