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La BNM a organisé aujourd’hui au palais international des conférences de Nouakchott, un forum international sur les finances islamiques en Mauritanie, hautement élevé à son plus haut rang, en raison de sa supervision conjointe par Cheikh Youcef El Qharadoui et l’érudit Mohamed El Hacen Ould Dedew.
Dans son mot d’ouverture du forum, le président du Groupe de la Banque Nationale de Mauritanie BNM, l’homme d’affaires Mohamed Ould Noueiguidh a indiqué que son ensemble financier avait commencé ses activités bancaires islamiques par l’ouverture de deux agences en 2008, dont l’une dans la capitale économique Nouadhibou et l’autre à Nouakchott.
Selon Ould Noueiguidh, son groupe est aujourd’hui en train de généraliser son système financier islamique à toutes les régions du pays, pour dit-il, assurer des transactions monétaires transparentes et conformes aux dispositions de la charia en matière des finances.
Plusieurs érudits, économistes et financiers ont pris part à cet important forum au cours duquel, Cheikh Youcef El Qharadaoui et l’érudit Mohamed El Hacen Ould Dedew se sont longuement appesantis sur les formes du « riba » (l’intérêt usuraire) et ses conséquences désastreuses sur les fortunes qui démolit comme le feu détruit le bois.
La BNM a organisé aujourd’hui au palais international des conférences de Nouakchott, un forum international sur les finances islamiques en Mauritanie, hautement élevé à son plus haut rang, en raison de sa supervision conjointe par Cheikh Youcef El Qharadoui et l’érudit Mohamed El Hacen Ould Dedew.
Dans son mot d’ouverture du forum, le président du Groupe de la Banque Nationale de Mauritanie BNM, l’homme d’affaires Mohamed Ould Noueiguidh a indiqué que son ensemble financier avait commencé ses activités bancaires islamiques par l’ouverture de deux agences en 2008, dont l’une dans la capitale économique Nouadhibou et l’autre à Nouakchott.
Selon Ould Noueiguidh, son groupe est aujourd’hui en train de généraliser son système financier islamique à toutes les régions du pays, pour dit-il, assurer des transactions monétaires transparentes et conformes aux dispositions de la charia en matière des finances.
Plusieurs érudits, économistes et financiers ont pris part à cet important forum au cours duquel, Cheikh Youcef El Qharadaoui et l’érudit Mohamed El Hacen Ould Dedew se sont longuement appesantis sur les formes du « riba » (l’intérêt usuraire) et ses conséquences désastreuses sur les fortunes qui démolit comme le feu détruit le bois.
