Le Gabonais Jean Ping, ancien président de la Commission de l'Union africaine, affirme qu'il ne sera pas candidat à la succession d'Abdou Diouf à la tête de la Francophonie.
Souvent cité parmi les candidats potentiels à la succession d'Abdou Diouf à la tête de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Gabonais Jean Ping jure ne pas être intéressé.
De même, l'ancien président de la Commission de l'Union africaine a décliné récemment la proposition qui lui avait été faite de représenter l'Afrique centrale au conseil des sages de l'UA. Il n'a pas participé non plus au sommet de l'organisation, fin janvier à Addis-Abeba. À tous ceux qui le pressent de revenir en politique, au Gabon notamment, Mao, comme on le surnomme parfois, répète qu'il entend se consacrer à plein temps à ses nouvelles activités.
Et notamment à Ping Consulting, son cabinet d'affaires. Fin avril, il publiera par ailleurs aux éditions Michalon un livre intitulé Éclipse sur l'Afrique. Fallait-il tuer Kaddafi ? 01022014 Jeuneafrique
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