Le palais présidentiel avait subi, en février, un assaut du même genre, perpétré par les Shebab. En mai, ces derniers avaient récidivé, contre le Parlement cette fois-ci.
Expulsés de la capitale en 2011 par la force africaine Amisom, qui compte 22 000 hommes aujourd'hui, puis de la quasi-totalité de leurs bastions du sud et du centre de la Somalie, les Shebab contrôlent toujours de larges zones rurales. Ils privilégient désormais les actions de guérilla et les attentats, visant notamment la capitale et les institutions de la Somalie, plongée dans la guerre civile en 1991.
(Avec AFP) 09072014 Jeuneafrique
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