Les autorités burundaises, sous pression de la communauté internationale pour résoudre la crise liée à la candidature contestée du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat, ont dénoncé mardi des efforts "diplomatiques" visant à ébranler ses institutions.
"Le gouvernement du Burundi est (. . . ) profondément préoccupé par l'activité diplomatique en cours qui tend à saper et - dans une large mesure - à dénigrer les institutions républicaines et constitutionnelles" du pays, a déclaré à la radio nationale le porte-parole du gouvernement, Philippe Nzobonariba.
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