Au Burundi, le parti au pouvoir vient de claquer - du moins momentanément - la porte du dialogue politique. La facilitation avait appelé à sa reprise ce matin, mais le gouvernement et le parti présidentiel ont boycotté cette première séance.
Le président du CNDD-FDD a annoncé que son parti n’y participerait pas en raison de la campagne pour les élections législatives et les communales de lundi, et ce malgré les exigences d'un calendrier électoral consensuel par la communauté internationale.
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