Iran, République Islamique : Saïd Jalili : une approche positive du groupe 5+1 ouvrira de nombreuses perspectives de coopération
le 17/01/2011 17:55:21

Le secrétaire du Haut conseil de la sécurité nationale iranienne, Saïd Jalili, au seuil des pourparlers qui doivent se tenir à Istanbul avec le groupe 5+1 a précisé que « si les membres du groupe 5+1 adoptent une approche positive, cela ouvrira de nombreuses perspectives de coopération seront nombreuses».

(irna) --Le secrétaire du Haut conseil de la sécurité nationale iranienne, Saïd Jalili, au seuil des pourparlers qui doivent se tenir à Istanbul avec le groupe 5+1 a précisé que « si les membres du groupe 5+1 adoptent une approche positive, cela ouvrira de nombreuses perspectives de coopération seront nombreuses».

Selon un communiqué du Haut conseil de la sécurité nationale iranienne, Saïd Jalili, au cours d’un entretien avec les journalistes de l’hebdomadaire allemand «Der Spiegel» interrogé sur les prochaines négociations à Istanbul, a répondu que «l’Iran souhaite s’occuper des questions fondamentales touchant à la politique mondiale à Istanbul ».


Le représentant du guide suprême de la révolution islamique auprès du Haut conseil de la sécurité nationale iranienne a indiqué que les pourparlers d’Istanbul qui se tiendront en janvier pour coopérer sur des points communs est le seul accord important issu des pourparlers de Genève III.


Saïd Jalili estime que l’accession au cycle du combustible nucléaire conformément au TNP constitue le droit inaliénable de la nation iranienne.


Il a déclaré que « malgré les efforts désespérés de cybers terroristes, « nous avons accompli aujourd’hui des d’excellents progrès techniques tandis que nos activités nucléaires pacifiques se font sous la supervision de l’Agence internationale de l’énergie atomique ».


Cette déclaration intervient moins d'une semaine avant une nouvelle rencontre sur le nucléaire entre l'Iran et les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine et Allemagne) les 21 et 22 janvier à Istanbul (Turquie) et à l’occasion de la visite de l'usine à eau lourde à Arak (centre) par des diplomates auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) de pays non alignés, du groupe des 77 et de la Ligue arabe, de la Syrie, du Venezuela.


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