La République du Congo dont l'économie dépend à environ de 62% de la production pétrolière, a enregistrée, en 2012, d'une baisse de production de l'or noir de 10%, a déclaré samedi le ministre des Hydrocarbures, André Raphaël Loemba.



« Je n'ai aucun doute sur la capacité des pétroliers à faire preuve d'audace, d'ingéniosité, d'imagination et de professionnalisme en mettant en oeuvre des technologies complexes et explorant de nouveaux horizons sur les nouveaux thématiques, afin de renouveler nos réserves et contribuer à la croissance de notre production d'huile et de gaz », a précisé le ministre faisant le bilan de l'année écoulée.

Selon lui, le pays a enregistré 98.564.332 barils en 2012, soit une production moyenne de 269.300 baril/j.

Pour espérer relever ce challenge, ce dernier a invité les acteurs concernés à la performance économique et technologique, notamment par la prise en compte des nouvelles dispositions à prendre au cours de cette année afin de relancer les anciens projets et de développer les récents.

Dans cette perspective, André Raphaël Loemba a invité les entreprises collaboratrices d'explorer toutes les pistes à gaz et à doubler d'efforts dans la conquête de l'espace nationale.

« Le secteur pétrolier demeure l'une des principales sources de l'économie congolaise fournissant des moyens nécessaires, pour le développement économique et social », a-t-il précisé.

Le ministre des Hydrocarbures entend ainsi placer 2013 sur le signe de la promotion des zones libres. D'où son appel à la promotion des zones libres du domaine minier, d'attribuer des permis d'exportation et d'exploitation.
13012013
Xinhua