Entamé lundi 15 avril passé, le dialogue national lancé par le président tunisien Moncef Marzouki cherche encore ses repères au milieu d'une polémique sur son utilité, ses finalités voire même sa capacité de trouver un consensus entre les différentes fractions politiques du pays sur les priorités de la prochaine étape.
Des amalgames jugés par des experts et tunisiens de "trompeurs" entourent ce dialogue national. D'un côté, cette initiative intercepte à la fois l'agenda de l'Assemblée constituante sur les échéances politiques à venir et l'initiative de l'Union générale tunisienne du Travail (UGTT).
Mais de l'autre côté, ce dialogue ne servira pas les exigences prioritaires de l'actuelle étape en l'occurrence un congrès de national de sauvetage convoqué par le Front populaire principale coalition de gauche en Tunisie. 20132204 IRIB
|