Les forces de sécurité éthiopiennes ont tué entre 48 et 50 personnes durant le week-end lors de manifestations dans la région d'Oromia, dans le centre de l'Ethiopie.
L'Ethiopie s'est dite prête à augmenter le nombre de ses soldats au Soudan du Sud pour y renforcer la mission de l'ONU (Minuss) et "ramener le calme" dans le pays, a indiqué vendredi le porte-parole du gouvernement éthiopien.
Depuis deux mois, l'Ethiopie connaît des manifestations quasi quotidiennes suite à la publication du nouveau plan d’urbanisme d’Addis-Abeba qui menace d’empiéter sur le territoire environnant appartenant à la communauté oromo. La répression brutale des manifestants par le pouvoir a fait 140 morts et de nombreux blessés. Explication en cinq points des tenants et aboutissants de cette grave crise que traverse le deuxième pays le plus peuplé d’Afrique.
Depuis fin novembre, l'Éthiopie est secouée par une série de manifestations de l'ethnie majoritaire oromo. A l'origine des tensions : le programme d'extension de la capitale Addis-Abeba, qui viendrait de facto grignoter la région Oromia. Huit semaines après les premières émeutes, la situation s'envenime et le gouvernement répond d'une main de fer.
Il y a un an, l’ONU annonçait que l’Ethiopie était le pays d’Afrique accueillant le plus de réfugiés. Un constat notamment dû à la guerre civile au Soudan du Sud, qui a poussé plus de 300 000 personnes à passer la frontière.
Le ministère éthiopien de la Santé a déclaré vendredi avoir pris plusieurs mesures pour assurer l'accès et un prix bas des médicaments essentiels dans le pays.
Chantre de la démocratisation en Afrique subsaharienne, Barack Obama se rend ce dimanche en Éthiopie. Un allié clé de Washington, où le parti au pouvoir règne sans partage.
En Ethiopie, des affrontements auraient eu lieu, ces derniers jours, à la frontière avec l'Erythrée. Selon un responsable éthiopien, une trentaine d'hommes armés auraient été tués en tentant d'entrer dans le pays.
La Maison Blanche l'a annoncé vendredi dernier : Barack Obama se rendra à Addis Abeba fin juillet après sa visite officielle au Kenya. C'est la première fois que le président américain visitera ce pays.
Plus de 36 millions d'éthiopiens ont commencé a voter dimanche pour des élections législatives et régionales qui devraient voir une large victoire de la coalition au pouvoir depuis 1991.
Plus de 36 millions d'éthiopiens ont commencé a voter dimanche pour des élections législatives et régionales qui devraient voir une large victoire de la coalition au pouvoir depuis 1991.
Des dizaines de milliers d'Ethiopiens ont participé mercredi à Addis Abeba à une manifestation organisée par le pouvoir contre le groupe Etat islamique, responsable de l'exécution de 28 chrétiens éthiopiens en Libye, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le service d'essai du train léger d'Addis Abeba, lancé le 1er février dernier, se poursuit sans connaître aucune problème technique jusqu'à présent, a affirmé le gestionnaire du projet Behailu Sintayhu.
Un amas de fers tordus et de cendres: c'est tout ce qui reste de Jazzamba, le club d'Addis Abeba qui a redonné vie au jazz éthiopien après les années de plomb de la dictature communiste.
La ville de Mekele, capitale de la région du Tigrée dans le nord de l'Ethiopie, a adopté une interdiction de fumer dans les lieux publics, devenant la première ville éthiopienne à restreindre l'usage du tabac, a rapporté la presse locale mardi.
Une Éthiopienne a été décapitée mardi en Arabie saoudite. Elle avait auparavant été reconnue coupable du meurtre d'une fillette saoudienne, poignardée 30 fois dans son sommeil.
Un haut responsable du Parti communiste chinois (PCC) s'est engagé lundi à renforcer les échanges avec le Front démocratique révolutionnaire des peuples éthiopiens (FDRPE).
Le gouvernement éthiopien a annoncé mardi la condamnation d'un journaliste à trois ans de prison, dénoncée par les défenseurs des médias dans ce pays de la Corne de l'Afrique parmi les plus répressifs du continent.
L'Ethiopie "vise de façon impitoyable" et torture son plus grand groupe ethnique, les Oromo, perçu comme un groupe d'opposition au gouvernement, accuse Amnesty international dans un rapport publié mardi.
De Nouakchott à Niamey, le nouvel envoyé spécial de l'ONU se démène pour mobiliser chefs d'État et partenaires internationaux. Son nom ? Hiroute Guebre Sellassie.