La partition jouée par la diplomatie américaine, le «vendredi de la colère», est passée de l'alto entamé par Hillary Clinton à la musiquette, en fin de nuit, entonnée par Barack Obama.De menace d'abandon à un soutien conditionné, les décideurs américains ont pris la juste mesure du poids réel de leur favori face à un allié indéfectible au Moyen-Orient.
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