Sénégal : le bilan de l'alternance mitigé du président Wade
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le 20/03/2011 17:08:49 |
20110320 Xinhua DAKAR, 19 mars (Xinhua) -- L'alternance politique intervenue dans un engouement populaire, le 19 mars 2000, au Sénégal avec l'accession au pouvoir de l'opposant Abdoulaye Wade, affiche onze ans après un bilan mitigé, selon les spécialistes et le Sénégalais moyen.
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Sénégal : 11e anniversaire de l'alternance marqué par manifestions pour ou contre le régime
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le 20/03/2011 17:08:21 |
20110320 Xinhua KAMPALA, 19 mars (Xinhua) -- Le président ougandais Yoweri Museveni a envoyé samedi une délégation de haut niveau en Libye pour une mission de l'Union africaine (UA) en vue d'aider à mettre fin à la crise dans le pays d'Afrique du Nord, a fait savoir un responsable du ministère ougandais des Affaires étrangères.
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Sénégal : impossible dialogue à Ziguinchor
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le 12/02/2011 14:55:05 |
Le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), en proie à une lutte de leadership, a reporté pour la énième fois ses assises. Pendant ce temps, depuis la mi-décembre 2010, les violences se multiplient dans le sud du Sénégal. Et l’État garde le silence.
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Sénégal : Proteste énergiquement contre le statu quo de la jeunesse sénégalaise
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le 01/02/2011 10:21:54 |
Pneux brûlé par des jeunes,dégradations,provocations visant la police et même jets de pièrres contre la maison familiale du président Abdoulaye Wade,les manifestations de colère de la part de milliers de jeunes contre les problèmes de délestage d'électricité se multiplient au Sénégal et à Dakar en particulierce Samedi 29 Janvier 2011.
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Sénégal : la jeunesse exaspérée par les délestages prend Wade à partie
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le 30/01/2011 18:02:37 |
Pneus brûlés par des jeunes, dégradations, provocations visant la police et même jets de pierres contre la maison familiale du président sénégalais, Abdoulaye Wade... Les manifestations de colère de la part de nombreux jeunes contre les problèmes de délestage d'électricité se multiplient au Sénégal, et à Dakar en particulier
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Sénégal : Sénégal: la région Sud renoue avec la violence (SYNTHESE)
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le 29/12/2010 16:20:17 |
DAKAR, 28 décembre (Xinhua) -- La Casamance, la région sud du Sénégal, a renoué avec la violence alors que l'annonce de la tenue prochaine des assises du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC, indépendantiste) avaient suscité des espoirs d'un retour à la paix et de fin d'un conflit qui persiste depuis 1982.
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Sénégal : Le ministre sénégalais des AE s'exprime après le rappel de l'ambassadeur en Iran
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le 18/12/2010 11:53:19 |
DAKAR, 16 décembre (Xinhua) -- Le ministre sénégalais des Affaires étrangères Madické Niang a déclaré jeudi à Dakar que le rappel en consultation son ambassadeur en Iran "est un message claire d' abord pour dire que le Sénégal n'est inféodé à aucun pays".
Cette décision avait été prise mardi suite à l'arraisonnement au Nigeria d'un navire rempli d'armes en provenance d'Iran et à destination de la Gambie.
"Nous sommes un pays souverain dignement défend ses intérêts", a ajouté le ministre au cours d'une conférence de presse.
Il a en outre estimé que les armes saisies "peuvent être une menace pour la région" ouest-africaine.
"Au Sénégal, nous sommes attachés à la sécurité de la sous- région, mais aussi à la paix dans le monde", a affirmé M. Niang ajoutant que son pays attend du gouvernement iranien qu'il lui donne des informations précises sur cette affaire avant de prendre définitive une décision.
Revenant sur les remous notés dans les relations avec la Gambie, M. Niang a prôné l'apaisement.
Pour lui, le Sénégal n'a pas de preuve sur la destination des armes saisies au Nigeria même si le matériel était destiné à la firme "Kanilaï Farms" (Gambie).
"Le Sénégal ne va pas polémiquer avec la Gambie. Ce que nous cherchons, c'est l'entente et la cordialité", a-t-il souligné.
french.news.cn/afrique
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Sénégal : Pourquoi Wade a fait demi-tour
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le 09/12/2010 17:54:13 |
Ayant peur de se retrouver un peu seul au sommet de Cancún sur l'environnement, le président sénégalais Abdoulaye Wade a décidé d'annuler sa venue au dernier moment. Une coûteuse indécision...
Ayant quitté Dakar dans la matinée du 28 novembre, le président Abdoulaye Wade ne devait pas être de retour avant le 10 décembre. Toutes les dispositions avaient été prises pour, en son absence, assurer le fonctionnement de l’État et l’organisation du travail gouvernemental. Le chef de l’État sénégalais devait, après avoir participé au sommet Afrique-Union européenne, à Tripoli, se rendre à Cancún, au Mexique, pour le sommet mondial sur l’environnement, où des éclaireurs avaient d’ailleurs été dépêchés.
Pourtant, dans la capitale libyenne, il a brusquement décidé de rebrousser chemin et de regagner Dakar dans la soirée du 30 novembre. Entre-temps, il avait reçu une note de son ambassadeur au Mexique l’informant que très peu de leaders de premier plan étaient attendus à Cancún ; et qu’il était douteux que le sommet débouche sur des résultats spectaculaires. C’est finalement Djibo Kâ, le ministre d’État chargé de l’Environnement, qui y a représenté le Sénégal. Ne restait plus qu’à acquitter les pénalités pour le dédit : loué pour treize jours, l’appareil (privé) n’a été utilisé que trois jours.
jeuneafrique.com
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Sénégal : Hissène Habré, accusé en sursis
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le 08/12/2010 16:15:37 |
La récente décision de la Cour de justice de la Cedeao recommandant l'institution d'un tribunal spécial pour le cas Hissène Habré paraît inapplicable, car trop onéreuse. L'UA devrait donc bientôt faire une contre-proposition pour permettre enfin au Sénégal de juger l'ancien dictateur tchadien.
Ils sont nombreux autour de la table, ce 24 novembre, à l’hôtel Méridien Président de Dakar. Il y a là les représentants de l’Union européenne (UE), de l’Union africaine (UA), de la France, des États-Unis, de la Belgique, de l’Allemagne… bref, de tous les bailleurs de fonds qui ont accepté de contribuer au financement du procès de Hissène Habré. Chassé du pouvoir en 1990, après huit années passées à la tête du Tchad, l’ancien dictateur a trouvé refuge au Sénégal. Il s’y trouve encore aujourd’hui.
Mais n’eût été l’insistance des associations de défense des droits de l’homme et des avocats des familles des victimes, la réunion aurait été annulée. Le 19 novembre, la Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a en effet déclaré que, seul, le Sénégal ne pouvait pas juger Hissène Habré et a préconisé la mise en place d’un tribunal spécial.
Le 24 novembre, les donateurs ont malgré tout continué à plancher sur le financement d’un procès conduit par la justice sénégalaise. Le budget qui leur avait été proposé par Dakar (27 millions d’euros) a été jugé excessif ; ils se sont donc mis d’accord sur une enveloppe de 8,6 millions d’euros – une proposition élaborée conjointement par des experts de l’UE et de l’UA. Parmi les principaux contributeurs figurent le Tchad, qui s’est engagé à contribuer à hauteur de 3 millions d’euros, l’UE, qui apportera 2 millions d’euros, les États-Unis (1,4 million) ou encore l’UA (à hauteur de 740 000 euros).
Des mois de travail
Le financement prévisionnel a donc été bouclé, mais l’arrêt de la Cour de justice de la Cedeao est venu compliquer davantage encore une affaire en souffrance depuis janvier 2000 – depuis que des victimes du président déchu ont porté plainte devant le tribunal hors classe de Dakar. La mise en place d’un tribunal spécial, du type de celui qui a été créé pour le Rwanda, pour l’ex-Yougoslavie ou pour la Sierra Leone, requiert en effet un cadre juridique sophistiqué, une logistique lourde et des moyens financiers colossaux. D’où le scepticisme de Reed Brody, porte-parole de l’ONG Human Rights Watch : « Ce type de tribunal coûte plus de 70 millions d’euros, explique-t-il. Et il a déjà fallu plusieurs mois et beaucoup de travail pour réunir les 8 millions d’euros nécessaires à l’organisation d’un procès de Habré par la justice sénégalaise. » Reed Brody rappelle aussi que « le comité de juristes africains, qui avait été mandaté en 2006 par l’Union africaine pour étudier les différentes options pour le procès de Habré, avait déjà planché sur l’hypothèse d’un tribunal spécial. Et il l’avait écarté au motif que cela coûterait trop cher et retarderait considérablement la tenue du procès ».
C’est sans doute pour contourner cet écueil que Robert Dossou, avocat et représentant spécial de la Commission de l’UA pour le procès Habré, a souligné que l’UA n’était pas liée par la décision de la Cedeao et qu’elle ne tarderait pas à faire une proposition qui permettra un dénouement rapide. Comme la plupart des organisations de défense des droits de l’homme, Robert Dossou penche pour l’organisation d’un procès à Dakar, dans les limites du budget alloué. Il s’agirait alors de créer un tribunal ad hoc composé de magistrats sénégalais et de ne juger Habré que sur quelques-uns des faits qui lui sont reprochés. Des ambitions donc revues à la baisse, mais qui permettraient de faire comparaître l’ancien président tchadien, en une sorte de remake africain des tribunaux spéciaux qui avaient été créés pour le Timor et pour la Bosnie.
jeuneafrique.com
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Sénégal : mohamed mané : le sénégal;le3 ème Festival Mondial des Arts Nègres
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le 05/12/2010 17:28:48 |
le sénégal,pays de la téranga,va organiser du 10 au 31 décembre 2010,le troisiéme édition du Festival Mondial des Arts Nègres(fesman). le premier ,historique,avait dèjà été organiser par le sénégal,du 1er au 24 avril 1966. il s'agissait alors dans la foulée des Indépendances et en pleinne lutte pour les droits civiques et de défendre les concepts de la négritude partout dans le monde. anisi,le concepteur du Festival était le premier président de la République du sénégal Léopold Sédar senghor. la seconde édition du fesman,du 15 janvier au 12 février 1977 S'était déroulée au Nigéria.depuis,plus rien,jusqu'à cette toisième édition de 2010, à cause des moyens financiers mais aussi à cause d'une manque volonté politique de certains chefs d'Etats noirs. retenons que la délégation Brésilienne assistera à cette grande fète pour la revalisation de la culture des africains et de la diaspora
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Sénégal : Les investisseurs sont invités à tenir compte de la propriété de la terre en Afrique
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le 09/11/2010 16:45:05 |
Les investisseurs doivent tenir compte de la propriété de la terre en Afrique, a souligné lundi Mohamed Béaguovi, directeur de la division pour l'Afrique de l' Ouest et du Centre du Fonds international de développement agricole (FIDA).
L'Afrique détient environ 52% des terres arables disponibles dans le monde" et les yeux du monde sont tournés vers le continent africain, a-t-il indiqué à l'ouverture d'un atelier régional pour la revue des projets financés par le FIDA.
"La place de la croissance de l'agriculture est d'actualité. De nombreuses entreprises investissent en Afrique dans le domaine agricole. C'est un tournant important pour l'Afrique", a expliqué le responsable de la FIDA.
Selon lui, c'est un moment historique et les Africains doivent capitaliser tous les moyens pour permettre le développement de l' agriculture.
Il a invité les investisseurs de tenir en compte de la propriété des terres, soulignant que "environ 95% de la nourriture consommé en Afrique est produit par les petits agriculteurs".
"Il est impossible de parler d'agriculture en Afrique sans parler des petits agriculteurs", a conclu M. Béaguovi.
FIDA appuie 50 projets et programmes de développement rural en Afrique de l'Ouest et du Centre pour un investissement total de 1, 3 milliards de dollars, indique-t-on de source officielle.
Le FIDA est une instituion spécialisée du système des Nations Unies, qui a pour vocation d'aider financièrement au développement agricole dans les pays en développement. Depuis 1978, le FIDA a investi plus de 12 milliards de dollars en subventions et en prêts à faible taux d'intérêts au profit des pays en développement pour assurer l'automatisation et la réduction de la pauvreté pour plus de 360 millions de personnes.
french.news.cn/afrique
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