Les violences ont encore ensanglanté l'Egypte vendredi avec au moins 83 morts dans des heurts entre partisans du président déchu Mohamed Morsi et des forces de l'ordre autorisées à tirer, un appel des islamistes à manifester désormais quotidiennement faisant craindre une nouvelle escalade.
Les partisans du président déchu Mohamed Morsi ont manifesté vendredi 16 août au Caire et dans plusieurs grandes villes pour dénoncer la répression sanglante menée par la police et l'armée contre les pro-Morsi de mercredi.
Des affrontements violents entre partisans de l'ex-président Morsi et les opposants au régime islamiste ont fait un mort mardi soir au Caire, après des manifestations pro-Morsi près de plusieurs ministères.
Des affrontements violents entre partisans du président destitué Mohamed Morsi et opposants au régime islamiste ont fait un mort dans la soirée du mardi 13 août au Caire. Selon les forces de sécurité égyptiennes, au moins dix autres personnes ont été blessées par des tirs de chevrotines. Les résidents du quartier de Guizeh ont également brisé la vitrine d'un grand magasin tenu par des islamistes.
Des affrontements violents ont opposé mardi soir au Caire partisans et opposants du président égyptien islamiste déchu Mohamed Morsi, faisant au moins sept blessés, ont indiqué des membres des forces de sécurité.
Le journal Al Akhbar vient de révéler les détails du plan sécuritaire proposé par le ministère de l'Intérieur,un plan qui vise à mettre un terme au sit-in des pro Morsi.
La justice égyptienne vient de prolonger lundi 12 août la détention préventive du président déchu Mohamed Morsi. Un signal fort envoyé aux manifestants qui contestent son incarcération, par des nouvelles autorités prêtes à disperser les islamistes barricadés depuis plus d'un mois sur deux places du Caire.
Depuis quatre jours, un sit-in regroupant les fidèles de l'ancien président a lieu au Caire. La police a promis de le disperser à la fin des fêtes du Ramadan, soit ce lundi.
Un groupe jihadiste a affirmé avoir tiré une roquette Grad sur Israël depuis le Sinaï égyptien dans la nuit de lundi à mardi, en représailles à un récent raid aérien meurtrier qu'il a attribué à l'Etat hébreu.
Des milliers de partisans du président destitué Mohamed Morsi ont manifesté vendredi en Egypte et des heurts les ont opposés à la police dans plusieurs villes, sur fond de menaces d'une dispersion imminente par la force de leurs sit-in au Caire.
Un groupe jihadiste a affirmé samedi que c'était un drone israélien qui a tué la veille dans le Sinaï égyptien quatre de ses combattants s'apprêtant à attaquer Israël, mais les médias officiels ont assuré qu'il s'agissait d'une frappe de l'armée égyptienne.
Principaux événements en Egypte depuis la destitution le 3 juillet par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, après des manifestations massives réclamant son départ.
Des milliers de partisans de Mohamed Morsi ont manifesté dimanche au Caire pour protester contre l'armée et réclamer le retour de l'ex-président destitué. La police menace d'employer la force pour disperser les rassemblements.
Les partisans du président islamiste destitué Mohamed Morsi ont appelé dimanche à de nouvelles manifestations en Egypte alors qu'expire un ultimatum de fait et que les autorités s'apprêtent à disperser de force leurs sit-in sur deux places du Caire.
Les émissaires internationaux se relayent au Caire pour tenter de sortir le pays de l'impasse politique, faisant la navette entre les nouvelles autorités installées par l'armée et les partisans du président islamiste destitué Mohamed Morsi.
Les émissaires internationaux se relayent au Caire pour tenter de sortir le pays de l'impasse politique, faisant la navette entre les nouvelles autorités installées par l'armée et les partisans du président islamiste destitué Mohamed Morsi.
La justice égyptienne a fixé au 25 août l'ouverture du procès de six figures des Frères musulmans, dont leur Guide suprême Mohamed Badie et ses deux adjoints Khairat al-Chater et Rachad Bayoumi, a rapporté dimanche l'agence officielle Mena.
La justice égyptienne a fixé dimanche au 25 août le procès des principaux chefs des Frères musulmans, une annonce qui pourrait mettre le feu aux poudres en pleines tractations entre les manifestants islamistes et le nouveau pouvoir qui a destitué le président Morsi.