A l'entrée de la place Tahrir, le ton est donné. «Accès interdit aux Frères musulmans», prévient une large banderole, accrochée à une minibarrière métallique. De part et d'autre de ce «check point» improvisé, des volontaires en veston jaune fluo fouillent les sacs, scrutent les cartes d'identité.
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