Le général controversé Khalifa Haftar a été officiellement nommé lundi à la tête de l'armée libyenne, et a prêté serment devant le Parlement reconnu par la communauté internationale, selon un porte-parole de la chambre.
Quatre Philippins et cinq autres étrangers ont été enlevés lors d'une attaque contre le champ pétrolier al-Ghani (sud de la Libye) imputée par des sources libyennes aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI), ont déclaré lundi les autorités philippines.
Les représentants des deux Parlements rivaux, qui tiennent des discussions indirectes au Maroc, ainsi que le médiateur de l'ONU ont affiché leur confiance vendredi quant à la possibilité d'un accord sur un gouvernement d'unité nationale en Libye, en proie au chaos.
Des islamistes radicaux se sont emparés mardi des deux champs pétrolifères d'Al-Bahi et Al-Mabrouk, situés dans le centre du pays. Ils menacent désormais celui d'Al-Dahra.
Le général Khalifa Haftar a été nommé à la tête de l'armée libyenne, a annoncé lundi le président du Parlement reconnu par la communauté internationale, Aguila Salah Issa.
D'un côté, un pays déchiré par les milices, squatté par l'État islamique et sur lequel prétendent régner deux gouvernements. De l'autre, des voisins africains et des Occidentaux divisés sur les moyens d'agir. Et pourtant, en Libye, il y a urgence.
Le Parlement libyen siégeant à Tobrouk (Est), reconnu par la communauté internationale, a décidé lundi de suspendre sa participation au dialogue sur une sortie de crise parrainé par l'ONU, dont un nouveau round était prévu jeudi au Maroc.
Le Parlement libyen reconnu par la communauté internationale a décidé lundi de suspendre sa participation au dialogue parrainé par l'ONU pour tenter de trouver une solution au conflit en Libye.
Aux portes de l'Europe, le nouveau foyer jihadiste qui se développe en Libye alimente les pires craintes du Vieux continent mais inquiète aussi les voisins immédiats du pays, qui craignent un renforcement de leurs propres groupes radicaux, soulignent les experts.
Trois attentats à la voiture piégée ont eu lieu vendredi dans l'est de la Libye faisant au moins 45 morts et 70 blessés, selon les autorités locales. Des attaques revendiquées par l'État islamique (EI).
La branche libyenne de l'Etat islamique (EI) a revendiqué les attentats perpétrés vendredi à Al-Qoba, dans l'est libyen, qui ont fait au moins 31 morts et 40 blessés, précisant que les attaques avaient été menées par deux kamikazes.
Les gouvernements des principaux pays européens et des Etats-Unis ont souligné mardi dans une déclaration commune la nécessité d'une "solution politique" en Libye et appelé à la formation d'un gouvernement national qu'ils sont prêts à soutenir.
Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a indiqué mercredi qu'il n'y avait "pas d'Occidentaux" parmi les victimes de l'attaque d'un groupe armé contre un champs pétrolier exploité conjointement par le groupe français Total et la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC) en Libye.
L'hôtel Corinthia à Tripoli a été la cible mardi d'une attaque revendiquée par la branche libyenne de l'État islamique. Neuf personnes, dont cinq étrangers, ont été tuées ainsi que trois assaillants, selon le dernier bilan. Retour en trois questions sur l'assaut qui a frappé l'un des sites les plus sécurisés de la capitale libyenne.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a fermement condamné mardi l'attaque "abominable" perpétrée contre un hôtel de Tripoli en Libye, qui a fait neuf morts, demandant à ce que les responsables soient traduits devant la justice.
Le groupe libyen Ansar Asharia, classé comme "terroriste" par les Etats-Unis et l'ONU, a confirmé samedi soir dans un communiqué la mort de son chef Mohamed al-Zehawi, annoncée plus tôt par des groupes islamistes.
Emboîtant le pas à la coalition de milices Fajr Libya, l'armée libyenne a annoncé dimanche 18 janvier un cessez-le-feu dans le pays. Objectif : donner une petite chance à des négociations de paix qui se déroulent en Suisse sous l'égide de l'ONU.
Des assaillants ont attaqué samedi l'ambassade d'Algérie à Tripoli, désertée par la majorité des diplomates étrangers depuis l'été, faisant trois blessés dont un policier, selon une source de sécurité.
Après 48 heures de discussions, les protagonistes du conflit armé en Libye sont parvenus à un accord à Genève sur la fin des hostilités et la formation d'un gouvernement d'unité nationale. L'annonce a été faite vendredi par la mission onusienne dans le pays qui a facilité ce premier round de dialogue. Que dit ce premier document de paix signé ?
Les journalistes tunisiens enlevés en septembre 2014 ont été annoncés morts par un site libyen, à tort. Que tente la diplomatie tunisienne pour les faire libérer ?